M'sieur Contractor - HILUX Meng 1/35

coyote voila de quoi fair de la place.

Là c'est... il n'y a pas de mots... et en plus les deux autres larrons mettent un pouce en l'air!  

Ne me dis pas que tu en as d'autre! Surtout ne me le dis pas...

C'est ce qui s'appelle prépositionner une engin explosif improvisé...

bon pour faire plaisir a coyote je ne dis pas que j'ai d'autre !!!!!!!.

Trois mois furent nécessaires pour supporter l'idée que Daniel puisse avoir d'autres statuettes Coyote... 

Bon entre temps il y eut une histoire de P38 avec le cousin canadien, un Akagi cuisiné façon grand-mère dont la fin de présentation est d'ailleurs proche et, liée à celle du Rufe pour une sombre histoire de résine.

La Toyota vient donc de ressortir de son coin d'attente. Au passage, une place un peu plus grande lui a été trouvée, de 16 x 13 nous sommes passés à 15 x 15... 

Progression de la journée caniculaire façon Marie Poppins les boeufs ont été rentrés en urgence... 





Maintenant dondé esta los caballeros? C'est fou je ne retrouve plus la boite des figurines.... que le responsable se dénonce immédiatement ou ça va ch..er des bulles ! Y'a de l'engin improvisé dans l'air, le blouson du tonton va être tout roussi...

Elle est très chouette. Tu mérites que je te dise "félicitations ô mon ami."

Mabrouk ya sadiqi !                                                      ! مبروك يا صديقي

Elle est immatriculée à Kaboul, c'est écrit en haut à gauche, sous le numéro SH 1973.

Le vieillissement est super.

Les bâches, c'est pour planquer les œuvres d'art volées que tu revends en Occident ?

Camarade Andy je te suggère de remonter le fil tu y trouveras le contenu et le pourquoi de la bâche, une histoire du ch'nord... tu y découvrira aussi l'histoire de la confiture et d.un blouson... 
et toujours dans le délire le plus mince mais très très mince...  


Camarade Daniel, Le Coyote a retrouvé los companeros les affaires vont reprendre.... 

Il y a cette histoire (VRAI ) de cet Américain qui avait un F150 Ford lettré au nom de sa compagnie avec son nb de téléphone, son camion c’est retrouvé au Moyen Orient entre les mains des ISIS pendant des mois il a reçu des téléphones de menaces et ça à ruiné sa compagnie.

Tu as raison d'être prudent. Idem quand on arrive à Téhéran, il est conseillé d'éviter de dire aux gardiens de la révolution francophones : le voyage m'a fatigué, mais je suis content d'être arrivé à bon port, phonétiquement, cela peut prêter à confusion.

bonjour coyote,

 la couverture à pris le vieillissement de où je suis j'aperçois le début de moisissure.

Mais beau travail les finitions prennent du temps.

Mais bien évidemment que la couverture n'est pas récente... c'est celle de la grand-mère, celle qui a du poil au menton... façon Roquefort le moisi sur les croutons... 

oueps ça peut le faire, sur ce coup la tu ne t'es pas foulé la rate!!!!!!!!

 

Je me répète, elle est splendide. Et entretenue avec amour.

En conséquence, je commande à la musique : Pour Coyote ! Ouvrez le (tali)ban !

Bonjour Coyote,

Pour Coyote, ouvrez le ban :




Et fermez le (tali)ban :

Dans mon jeune temps, en petit homme vert, j'ai assisté à une cérémonie au drapeau un peu particulière. 
Nous sommes un vendredi jour de départ en perm.
Le régiment est réuni pour la cérémonie au drapeau juste avant de courir s'habiller en civil et de fiche le camp à la gare. 
Bref la place d'arme, les compagnies rassemblées et tout et tout. 
Le colon un ancien de DBP pas commode pour deux sous est au premier rang. Perso de semaine je suis planqué dans les hauts du bâtiment PC. 
Le clairon est un jeune appelé c'est la première fois sans doute qu'il est là tout seul face à l'aréopage des ficelles et tout genre et, à la consigne "au drapeau" le voilà qui joue l'appel des consigné. 
Gros effet, les arrêts immédiats et encore de rigueur, je ne me souviens pas du motif mais il devait être interessant à lire.

Tout dépend où l'on tombe. Moi j'ai eu du pot. 13e Rgt du Génie à Trèves, quasiment une filiale du Club Med. Caserne annexe ex-allemande avec des jardinières de géraniums aux fenêtres et dans les couloirs, nous circulions avec des patins pour ne pas laisser de traces de cirage sur le revêtement de sol. Discipline asymptote au zéro.

Un soir, j'étais de garde à l'école des ponts. Téléphone. C'est toi le chef de poste ? Oui. Je suis l'adjudant X. Rappelle tes gars de la baraque à saucisses, je passe dans une demi-heure. Merci mon adjudant.

Un jour, un adjudant d'origine vietnamienne dit au rassemblement : les chiottes sont sales ! Nous allons y monter la garde ! C'était un jeudi. Je me dis, si la plaisanterie s'éternise, mon week-end est foutu, ce n'est pas un sous-off qui pourrira le sien (j'étais cabot-chef). Je prends le premier tour ! OK, c'est bien. Je demande : On fait une vraie garde avec treillis de garde, fourragère et armes ? Oui ! Je choisis mes gars et on va à l'armurerie. Pendant que je passe mon étui à pistolet dans ma ceinture, l'armurier me dit : C'est pour quoi exactement, la garde est déjà passée s'équiper ? J'ai expliqué. Il était plié. Des gars venaient de partout pour voir. Certains présentaient de fausses perms, des 48 h. "Je suis constipé".

Reconnaissance avant manœuvres. Nous montons sur site avec les voitures. On tourne en rond. Le capitaine dit à un lieutenant : mais pourtant vous êtes déjà venu ? Oui, mais c'était de nuit, je ne reconnais pas. On poireaute un moment, puis le capitaine, homme d'initiative, dit : Bon, on s'en va, la dernière voiture arrivée paie une tournée générale. Ben oui, une chambrée entièrement peinte par un appelé artiste qui y avait fait un panorama à 360 ° de la vallée de la Moselle, avait été transformée en bar clandestin pour l'encadrement. Quand une revue d'intendance était annoncée, nous planquions les bouteilles d'alcool dans le coffre des voitures. Y a pas d'alcool, j'espère ? Oh non mon capitaine, vous voyez, de la limonade, de la grenadine, du sirop de menthe (les bouteilles devaient être là depuis deux ans). C'est bien, c'est bien !

Une petite dernière. Quand je suis passé sergent, mon adjudant-chef a pris plaisir à me saouler. L'après-midi, je retourne à mon poste complètement mûr et je m'endors sur mon bureau. Quand j'ouvre un œil, il y avait devant moi une rangée de chaises occupées par deux lieutenants et une brochette de sous-offs. Ils m'ont applaudi.

Et mon boulot consistait en quoi ? Bon sang, mais c'est bien sûr ! Je construisais des maquettes de bateaux pour les officiers, y compris le colonel. Ce qui m'a valu un statut privilégié.

Original, non ?

Pas mal tes anecdotes mais la dernière vaut son pesant de cacahuètes " espéce de planqué va "  et tu as eu raison.

Planqué, oui Rico, mais ça se mérite. C'est un métier. 

On m'a refusé les EOR parce que je n'avais pas fait la préparation militaire dont j'ignorais l'existence. Par mesure de représailles, j'ai décidé de mettre le programme des réjouissances à ma main en commençant par me faire exempter de tout. 

Un sergent engagé me dit un jour pendant un exercice : des tire-au-cul, j'en ai vu beaucoup, mais qui le fasse avec la même élégance que vous, jamais. On s'est rencontré en boîte et nous sommes devenus copains. Il me donnait le programme de la semaine suivante, ce qui me permettait d'aller à l'infirmerie deux jours avant ce qui me déplaisait. Sauf quand il est parti en perm. Pas de chance, marche de nuit. J'ai bêtement glissé sur un tapis de feuilles mortes. Je me dis, tu es par terre, tu bouges pas. Quand mes copains sont venus me récupérer, j'ai bloqué ma respiration que j'ai relâchée quand ils m'ont pris le pouls. Il va crever ! Ils ont confectionné un brancard et m'ont trainé jusqu'à la route où ils ont fait du stop. Un Allemand s'arrête. On s'installe, moi devant. Il demande : quelqu'un parle allemand ? Je réponds oui, moi. Qu'est-ce qui vous arrive ? Rien, mais leurs conneries ne m'intéressent pas. Quand il nous a déposés, il m'a serré la main et m'a fait un clin d'œil. J'ai ajouté l'exemption de marche à mon palmarès.

Je suis sorti major du peloton sous-offs (je n'assistais qu'aux cours et, étudiant, le bachotage ça me connaissait). Mon capitaine m'appelle. Je ne pensais pas que vous iriez jusqu'au bout, vu votre mauvaise condition physique. La Compagnie est fière de vous, je vous en témoignerai. Quinze jours se passent. Il me rappelle. Vous vous souvenez de ce que je vous ai dit ? En récompense, vous partez une semaine à Berlin, en civil, logé dans l'hôtel des FFA avec au programme soirée à la Philharmonique, soirée à l'Alliance française, visite de la ville et des musées, passage à l'Est (là en uniforme) pour visiter le musée Pergamon et l'Armée vous offre votre argent de poche.

Quand j'te dis que c'est un métier !

Coyote. Si tu trouves que je pollue, tu vires mes messages.

Le bonjour te va Andy,
ne t'inquiète pas tu ne risques rien, c'est toujours intéressant ces histoires d'armée.
Pour ma part étant donné mon intégration au service de Santé par personne compétentes, mon oncle, 33 mois à Vincennes à 2 stations de métro de chez mes parents, beaucoup plus d'usure de mes vêtements civils que des tenues, 3 mois de villégiature à Lyon à l'école d'officier de réserve.
Rien à dire de spécial. En plus au bout de 18 mois j'ai été payé 500 francs par mois comme PDL maintenu !

Puisque cela vous amuse, une petite dernière avant d'attaquer le sujet sur l'artillerie de marine que j'ai été chargé de rédiger à l'insu d'mon plein gré.

A la garde, quelques jours après une incorporation. La sentinelle entre et me dit : on a un candidat sérieux ! Entre un brave gars un peu rondouillard. Sa tenue :



C'est pour quoi ? Le sergent T. (un copain à moi qui savait que j'étais de garde) m'envoie chercher de la ligne de mire. Oui, combien ? 15 m. Ouh la ! Une telle longueur, on n'a pas ici et je sais pas où tu peux en trouver. Serviable, je lui dis : je vais demander à l'officier de permanence. Je vais le voir dans son bureau et je lui explique. Il se marre. Vous voulez le recevoir ? A oui oui ! Bonne idée, je me fais autant chier que vous. Je lui amène le gugusse. Au bout d'un moment, on le voit repasser cherchant quelque chose les yeux hagards. La sentinelle rentre, hilare: le lieut' l'a envoyé aux cuisines !

Si vous êtes réserviste et devez faire une période, demandez le 13e RG, sur Régiment loufoque Advisor, il est classé 5 étoiles.

Une histoire vraie d’ici et je sais que c’est vrai parce-que racontée par plusieurs témoins  
2 de mes oncles étaient des chasseurs / trappeurs (dans les années 50) qui disons le temps de la chasse était +- à l’année légale ou non
Bon il tuent un petit chevreuil mais la faut le ramener. Le garde chasse est un cousin qui essai de les attraper de puis un bout. Ils savent que le cousin les attends q-part sur le chemin (il y en a qu’un seul) faut passer avec la bête.
Alors ils ont cassé les pattes habillé la bêtes avec un coupe vent enfoncé une tuque sur sa tête et l’on assit dans la camionnette entre eux et ont tout simplement passé devant le cousin qui a juste regardé à l’arrière mais jamais pensé a regarder dans la cabine.
Ma tante ma dit que c’était le meilleur chevreuil qu’elle na jamais mangé .

Quand le cousin l’a su il en à bien ri apparemment

 Merci pour cette excellente histoire! Vive les cousins!

+1 avec Coyote

belle histoire charlesQC