James COBURN Iron Cross - Das Werk 1/16

Voila une idée sympa, comme me l'a confié une nymphomane inculte qui appelle l'acteur Jaime Grossburn. 

On remarque sur la photo montage que l'Unteroffizier (sergent) du kit porte une culotte d'officier et est armé d'un PPSH 41 soviétique. Une hérésie hollywoodienne ? D'autre part la patte d'épaule de la figurine est celle d'un Oberfeldwebel, adjudant-chef, quand Steiner est Unteroffizier. Quant aux 3 galons de bras, si ils sont supposés représenter les galons de camouflage, ils sont faux, grade et forme, et ils ne sont pas portés sur la vareuse mais sur l'anorak qui n'a pas de pattes d'épaule.

Maintenant  si le Canis Latrans représente l'acteur sur un plateau de tournage, affalé sur le siège à son nom, les pieds sur une table où traînent un BigMac et une Bud, tout est permis.

Concernant le pantalon, il faut fouiller les images du film, puisque l'intérêt porte sur le film et non sur la période guerrière. 

Pour la Pépèche, le MP40 9mm lui était disons inférieur sur plusieurs points : 
- Portée. Le PPSH était fiable à 200m, le double du MP40.
- Munition. Le 7/62 soviétique était plus véloce que la munition 9mm allemande. 
- Cadence de tir : Nous sommes à 900 coups minutes contre 500. 
- Capacité : Le chargeur camembert permettait 71 coups contre 32 pour l'allemand. 
Sur ce dernier point, Yvan utilisait souvent le camembert pour le premier assaut puis, utilisait le chargeur courbe de 35 cartouches. Deux bonnes raisons à cela, le temps de changement du chargeur camembert était plus long et... après avoir balancé 71 pruneaux, le camembert était brûlant. 

La récupération sur le champ de bataille était une sorte de tradition. Pour Schultz, trouver une Pépèche c'était disposer d'une arme plus véloce mais aussi plus adaptée aux conditions climatiques. Et Schultz aimait bien le chargeur rond.
Pour Yvan c'était un peu l'inverse. Trouver un MP40 c'était la quasi certitude d'avoir suffisamment de munitions à disposition en pillant sur les cadavres ou les réserves bien approvisionnées coté germain. 

Maintenant revenons au film. 

Steiner utilise un PPSH durant la plus grande partie des scènes de combats. Les hommes du peloton troquent d'ailleurs une partie de leurs équipements contre du soviétique. Donc la pépèche, même hollywoodienne n'est pas anachronique.

Ce que tu appelles galons sur le bras sont en fait des badges de destruction de blindé "à la mano" c'est à dire à la grenade ventouse ou à la mine magnétique. Tu t'approches, tu plaques le truc sur le char, tu te barres et tu espères ne pas te faire dessouder durant l'action ou au moment de l'explosion, ou lorsque les petits copain d'Yvan te découvrent. Avant l'arrivée du Panzerfaust c'était une technique comme une autre et cela faisait partie de l'entrainement de base avec une taux de perte relativement élevé. 

Le modèle semble en porter 3. Il faut que je vérifie dans le film pour Steiner. 
L'inspirateur historique n'en avait que 2 ce qui est déjà pas mal. 
Je reviendrai sans doute là dessus durant le montage.

Rien hier, rien aujourd'hui. On sent le film à petit budget tourné au Kosovo avec des acteurs miteux qui cachetonnent pour survivre. Décidément les studios Canis Latrans, c'est pas Warner Bros.

Et tu sais ce qu'elles disent les éditions Canis Latrans... ! ...  

La critique est aisée, mais l'Art bien mal aisé... et pan! 

La suite donc demain, car en plus, l'objet n'a point encore été livré, il faut donc tenir l'Assemblée en haleine et chauffer la salle en attendant de connaitre le type de pantalon du récipiendaire...

Coyote,

Un début qui retient toute mon attention.

Bon c’est parti
Notre ami Coyote se lance avec ardeur dans la figurine
BRAVO !

Charles tu es un génie! Effectivement j'avais placé cela dans la rubrique diorama sans penser à la rubrique Figurines... Il y a des moments où tout Coyote peut avoir des moments de faiblesse... 





... Enfin si le service des Postes fait son travail dans les temps... 

Merci pour cette présentation.

Puisque tu ne les cites pas.

Les acteurs principaux du film de Coyote sont le Kosovar Djems Koburnovič, monté tardivement sur les planches pour y passer le balai et Adolf Bierbauch, un transfuge de RDA qui a joué dans Stasi mon amour, film tourné fin 1989 et donc jamais sorti en salle. Leur notoriété n'a jamais dépassé le premier cercle familial, mais ils ne sont pas cher.

Le bonjour! 
Pour bibi, LE rôle c'est Sean Mallory dans il était un fois la Révolution.

"Mèche courte"

oui +1 avec coyote (ils a pris les jouets du coyote sur la photo )

Coyote a écrit:Le bonjour! 
Pour bibi, LE rôle c'est Sean Mallory dans il était un fois la Révolution.

"Mèche courte"

oui là je suis d'accord

Toujours rien. Renseignement pris, le facteur, juché sur son bourricot, ne distribue le courrier aux rares rustiques alphabétisés de l'âpre Auvergne profonde, qu'une fois par semaine. Cela nous laisse le temps de voir ou revoir le film pour mieux appréhender la future œuvre de Maître Coyote.

Et voilà, tout de suite la verve pompidolienne, l'ironie du nord de l'Oise aussitôt saluée par le gars de Bondy. 

Mais le Coyote (Animalis Paternalis) dans sa grande mansuétude continue son chemin et, tel le grand Caius Suetonius Tranquillus continue son oeuvre... 

On verra si, comme pour Suétone, ta figurine te vaudra 12 César.

Les bottes de ton Steiner sont également des bottes d'officier. Celles du Schütze de base et des sous-officiers sont plus courtes et n'ont pas le mollet galbé.

Comme disait Lisette, ne déflorons pas le sujet trop rapidement... Il y a à dire, à redire et à médire sur les bottes... 

Et comme le disait un célèbre prophète de la Nièvre, ... "Si tu ne viens pas à Coyote alors, Coyote viendra à toi"... 

Signé : 
Le Bouif Errant.

Ami Michel Bonjour,

Ne déflorons pas... le Coyote A la solution, mais... patience, patience... et science sans patience... 

Je découvre ce sujet encore une fois sortie des cellules grises qui mériteraient d'être analysées du sieur coyote

Bonjour les amis,


 Le détail  toujours le détail  à première vue c'est pas trop mal,mais voyez vous quand on regarde le détail alors là mes amis c'est le détail qui tue, je dirai même plus  les détails



Et voila le coyote est reparti en réflexion les méninges en pleines actions .

Comme il s'agit d'une évocation du film, Ton Immensité envisage-t-elle de présenter l'acteur sur un plateau de tournage avec quelques autres figurines, par exemple le preneur de son, le réalisateur, la script, le cameraman?

Mon immensité il n'en a plus aucune idée... il avance plutôt à l'estime... d'autant qu'au 1/16 les accessoires autres que guerriers ne sont pas légion... J'envisage une caméra peut-être pas trop compliqué à réaliser en scratch, ou une chaise de tournage à son nom... Le présentation ira là où l'Andy me poussera. 

vite la suite  ça va cartooner avec le coyote.