Lightning P-38J Tamiya 1/48

Mis de côté pour faire ma figurine
 
Non Rico la %$&& échelle doit être ajusté a ce moment le seul moyen aurait été de briser l’attachement et la placé a la fin et il y aurait eu une possibilité d’avoir un mauvais angle de positionnement et la rendre encore + fragile

Pour le train Coyote je pourrais te le dire + tard mais sa me semble assez correcte

De toute façon il n’y avait pas de poids dans mon vieux kit de Monogram de  1973 et comme difficile de placé dans le nez j’ai du tout mettre dans les nacelles moteurs et sa tien très bien











Et tu me brise le cœur de vouloir en faire une épave d’un si bel oiseau


Tu vois Charles cette échelle là en ce moment me fait penser au beaupré que l'on monte trop vite et qui pète lorsque l'on fait tourner le voilier lors des différents montages !

Oui Michel en plein cela j’ai actuellement cette petite pièce sur la Syren que j’accroche et brise chaque fois que je travaille dessus

Bonsoir Charles,

Une très belle avancée pour ce P-38 qui n'a pas fini, lui, dans les latrines...

Salut Cousin, 

Tout d'abord réglons le compte du mauvais Foreziens qui se moque de la fin triste devant les latrines... rappelons lui gentiment l'histoire de son Chivoivoi,qui s'est avéré Doberman et qui avait tellement faim qu'il a mangé le siège du Combi VW. Plaf! c'est injuste mais  çà soulage...

Donc ami Charles tu as raison, il ne mérite pas d'être représenté aplati devant les latrines, ou alors au 1/72 mais pas au 1/48. Pour l'heure, ayant trouvé l'avion, et avant de me décider à casser la tirelire , je cherche une bonne idée de présentation. 
Le Miss Virginia pilote par Barber le 18 avril 1943? Pas glop, il est revenu en piteux état. Avant, ce n'est plus Barber, après ce n'est plus Barber. 
Donc je cherche des photos du "El Diablo" l'avion affecté à Barber et... je n'en trouve pas.

Questions :
- entre le G et le J le volant du manche à balais n'est pas le même. La maquette Tamiya propose t'elle les deux pièces ou une seule? 
- entre le G et le J l'entrée d'air sous hélice n'est pas la même, la maquette Tamiya donne t'elle les deux versions?

Après les réponses décision sera prise.

Bonjour Charles,

Je ne sais pas toi, mais je me demande ce que Coyote a contre une jeune chienne de presque 8 mois et plus de 20 kg...

Plus sérieusement, ton P38 est superbe. Peux-tu nous faire une photo permettant de voir le panneau latéral avant ouvert et le contenu du compartiment ?

Merci d'avance

Michel L'ancien a écrit:Le bonjour te va Coyote,
on retiendra surtout si j'a mal compris le long exposé dithyrambique au sujet du tueur du petit prince  et du G et du J !

Salut l'Ancien, 

A l'époque de l'écrit, je pensait que le modèle Tamiya de Charles permettait de faire le G et le J. 
Erreur, j'ai parcouru Youtube et... non, Tamiya a fait 2 boites différentes, forcément. 

Du coup j'ai trouvé un G qui fait l'objet d'un sujet à part. 

Qu'en au P38 de Saint-Ex, c'est encore un autre modèle, j'en parlerai peut-être au cours du montage.

Merci Coyote pour ces précisions.

Bonjour Charles,

 belle avancée

Bon il semble que je vais devoir donner des détails
 
MacDonald a servi aux États-Unis avec le 326th Fighter Group avant d'être transféré au 348th Fighter Group pour commander le 340th Pursuit Scquadron à Westover Field, Massachusetts.
 
Le 1er octobre 1943, alors major, il rejoint le 475th Fighter Group à Dobodura, en Nouvelle-Guinée, en tant que commandant du groupe. Il a remporté ses quatre premières victoires ce mois-là et  devenu un as le 9 novembre 1943, lorsqu'il a abattu deux Zekes près de l'aérodrome d'Alexishafen. Il est promu lieutenant-colonel le lendemain 10 novembre 1943 et devient commandant du groupe.
 
Alors qu'il était commandant du 432e Escadron, MacDonald a démontré son leadership lors d'une mission le 25 octobre à Rabaul. Alors qu'il dirigeait une formation d'escorte volant sur P-38 pour escorter des B-24 Liberators lors d'une frappe de Rabaul, le gros temps s'est rapproché et tous les P-38, à l'exception du vol de MacDonald, ont fait demi-tour. Soudain, le temps s'éclaircit et la formation de B-24, avec à peine une escorte de quelque appareils fut attaquée par des A6M Zéros.
 
MacDonald et son vol ont alors quitté la formation de bombardiers, dégageant les zéros des queues des bombardiers. Ils ne pouvaient pas passer du temps à achever les avions ennemis endommagés ni à confirmer les victoires. Grâce à leur habileté et à leur diligence, ils ont empêché de nombreux bombardiers d'être abattus. Mais un autre pilote à été en mesure de confirmer un kill de MacDonald, un Zero, sa quatrième victoire aérienne au total. Pour ses actions, il a reçu la Distinguished Service Cross.
 
MacDonald est devenu commandant de groupe en novembre 1943, remplaçant George Prentice qui a été transféré chez lui. À la tête du groupe pendant 20 mois, le colonel "Mac" a piloté son P-38, Putt-Putt-Maru, avec le numéro d'unité "100".
 
Au début d'avril, il dirigea le 475e en mission au-dessus du bastion japonais de Hollandia, dans le nord-ouest de la Guinée.
 
Au milieu de 1944, le général George Kenney s'est arrangé pour que Charles A. Lindbergh visite et vole avec le 475th. Il a pu apprendre aux pilotes de P-38 à augmenter leur portée opérationnelle de 50 %. Pendant son séjour avec le 475e, lui et MacDonald sont devenus de bons amis et Lindbergh a gagné le respect de MacDonald en tant qu'excellent pilote.
 
Le 28 juillet 1944, Lindbergh a volé sur une course de lait apparente avec MacDonald. Cependant, cette mission "sans incident" est devenue une situation délicate. Un chasseur japonais a percé leur formation et a jeté son dévolu sur le P-38 de Lindbergh. Ils étaient sur une trajectoire de collision, les canons tirant des deux avions, quand au dernier moment, Lindbergh s'est arrêté. Le combattant japonais blessé n'a pas pu suivre et a plongé dans la mer.
 
Le général Paul Wurtsmith a mis MacDonald en "congé punitif" d'un mois pour avoir permis au héros national de se retrouver dans une situation dangereuse. MacDonald est revenu au 475e à temps pour diriger le groupe lors des événements mémorables entourant la libération des Philippines.
 
Il a effectué plusieurs sorties au-dessus des îles Philippines et a abattu treize de ses victimes au cours des sept semaines entre le 10 novembre 1944 et le 1er janvier 1945. L'une de ses missions les plus mémorables a eu lieu le 25 décembre 1944 lorsqu'il a détruit trois chasseurs japonais au-dessus de Clark. Aux Philippines. Il remporte sa dernière victoire aérienne le 13 mars 1945, portant son total à 27.
 
Il a terminé la guerre avec 27 victoires confirmées, faisant de lui le troisième pilote de chasse de l'armée américaine le plus haut gradé du théâtre du Pacific.
 
Contrairement aux traditions de nombreux pays, les navires japonais ne portent jamais le nom d'individus. Les navires non militaires portent le plus souvent le suffixe «-Maru» dans leur titre; une tradition remontant à l'ère pré-shogunat du XVIe siècle lorsque Toyotomi Hideyoshi appelait son vaisseau amiral le Nippon Maru. La nomenclature a été approuvée par l'Empereur et bloquée, restant en place à ce jour. Et bien que le kanji du mot "-maru" représente un cercle, il peut être considéré comme représentant davantage l'achèvement d'un voyage, le retour en toute sécurité au port.
 
Les citations de MacDonald
 

 
Et quelque photo de sont appareil
 


 
Un appareil a ses couleurs en vol
 

 
Bon gros sujet qui à beaucoup de point de vue
Avion conçu en 1937 prototype 1938 avec les connaissances de cette période!
Le prototype en 1938 pouvait voler à max 665 km/h à 6,100m et atteindre son plafond de 6,100m en 6.5 minute avec un plafond maximum de 11,580m, et avec une autonomie maximum de 1,850 km.  
 
Le BF-109-c de 1938 en comparaison 470 km/h à 4,500m son plafond max était 5,000 m en 8 min 44 sec autonomie de seulement 652 km et plafond maximum de 8,400m
 
Le Zero A6M2 de 1939-1941 534kmh à  5,000m. 4500m en 5min 50s plafond 10,300m autonomie de 1,891km.
 
Il y plusieurs causes pour la mauvaise réputation du P-38
En mai 1940 lors d’essais un problème majeur est apparue, la compressibilité de l’air sur les ailes en piqué un phénomène alors inconnue aussi une vibration du stabilisateur aileron arrière.
Ensuite la commande placée par les Britanniques et la France pour une commande de 667 appareils. Mais ils les voulaient équiper du même moteur qui équipait le Curtis P40 qui n’était pas contre rotatif et qui n’avait pas de turbo compresseur comme la performance n’était pas au rendez vous  la commande a été annulée et l’appareil considéré comme piètre qualité côté performance.
Ensuite l’armée de l’air USAAF à poussé la production des P-38-F et comme ce n’était que le seul appareil de chasse qui pouvait escorter les bombardiers sur de longues distances ils l’ont mis en service sur le front Européen début 1942 sans vraiment prendre en compte les avis de Lockheed et prendre le temps de faire les modifications nécessaires pour l’adapter aux conditions européennes.
Résultat problème de chauffage de la cabine de pilotage et autre menus petits problèmes qui l’ont rendu impopulaire auprès des pilotes. Problème résolu en 1943 avec l’arrivé du P38-J
 
Mauvais points
1 Demande d’un peu + d’expérience des pilotes mais après 150 ou 200h de vol un pilote était habituellement capable d’exploité 100% de la machine
2 Difficile de contrôle dans un piqué vertical
3 Une silhouette distinctive qui en faisait une identification facile
 
Bons points
1 Appareil très stable avec ses 2 moteurs contre rotatif.
2 Sa manœuvrabilité qui était supérieure à tout ce qui volait entre 5,400 et 9,000m
3 Distance capable d’atteindre une cible à 800km et avoir encore 30 ou 45 minutes de vol pour une diversion.
4 Capable de voler sur un seul moteur beaucoup de pilotes on eu la vie sauve grâce à cela.
5 Construction robuste le P-38 pouvait encaisser beaucoup  et continuer à voler.
6 Excellente visibilité pour le pilote
7 puissance de feux concentrée dans le nez qui permettait des tirs à longue distance en évitant la convergence de tir des ailes
8 finalement facile de maintenance
 
Les AS Américain
Richard Bong 40victoires sur P-38
Thomas McGuire 38 victoire sur P-38
Mc Campbell US navy 34 victoires sur Helcatt et autre
Francis Gabreski 28 victoires sur P-47
Gregory Boyington 28 victoires sur F4U-1A corsaire
Charles H.MacDonald 27 victoires sur P-38
 
6 AS total 195 victoires et 105 victoires avec le P-38
 
Un appareil utilisé du début à la fin, pensé à une utilisation un genre de mission et le P-38 les à accomplies.
 
Un appareil qui a connue certains problèmes mais qui a quand même fait sont travail
 
OUI je suis un inconditionnelle du P-38 et je m’assume
 
Mes 20 favoris presque dans l’ordre
P-38
Horten Ho-229
Kyushu J7W1
Dewoitine 520
Henshel Hs 129
Mosquito
Fairely Swordfish
Westland Lysander MK.1
Mitsubishi Ki-46-II
PBY-5A Catalina
Heinkel He-219
Brequet 691
Tupolev Tu-2
Yakolev Yak-3
Hawker Tyohon MK.IB
ReGGiane Re.2005
Me 410
Avro Lancaster
Douglas A-26B Invader
Fokker G.1A
 
Tout ce verbiage c’est la faute a Coyote

Blanc comme neige! (sur ce coup là...)

Il est vrai que l'arrivée des volets de piqué à partir du F, et la modification des volets de courbure permettant, en combat de descendre de 5° (de mémoire) ont grandement amélioré les défauts de l'engin. 
Le manuel de vol engage par exemple les pilotes à partir en tonneau par la gauche et surtout pas par la droite et d'autres bricoles qui donnent raison à l'assertion de Charles, après 150h le pilote était un crac dans une machine de guerre. Enfin pas certain que les veuves de pilotes ayant moins de 100 heures sur l'appareil, soient du même avis... 

En tout cas Charles se la joue avec son avion d'as des as... 

Bonjour Charles,


 belle leçon d'histoire j'aime même si le coyote n'a pas l’air d'accord.

Pft... médisant... 

Coyote a écrit:Pft... médisant... 

 C'est qui le médisant, moi j'ai rien dis de mal j'ai seulement constaté ta réponse

Mais non mais non, le Coyote se contente de dire que le P-38 ne fut réellement au point qu'à partir du J et qu'il fallait de l'entraînement pour ne pas finir suspendu au parachute... et il va en parler plus en détail dans son modèle pour ne pas spoiler l'ami Charles. 

Ceci étant, les fameux volets de piqué sur le J, qui permit d'éviter bien des bains forcés et définitifs. 

Bonsoir Charles et Coyote,

Merci à tous les deux pour vos informations sur le P-38.

Et pour faire rêver Charles, ... merci à Christian (Boks1) 

On voit bien les deux hélices qui... ne tournent pas dans le même sens...

Bonjour l'Ancien, 

Tu as entièrement raison cependant (cours de management appliqué toujours commencer ainsi ) ... `

Le P-38 est un bimoteur symétrique supra divergent, hélice moteur gauche tournant vers la gauche, hélice moteur droit tournant vers la droite.

Le De Haviland Mosquito est un bimoteur dissymétrique les deux hélices tournant à gauche.

Le PBY Catalina est un bimoteur dissymétrique les deux hélices tournant à droite. 

Et il existe même des bimoteurs supra convergents, hélice moteur gauche tournant à droite, et hélice moteur droit tournant à à gauche.

Par contre pour le sujet naval et le complément du camarade Archimède aucun commentaire je n'ai jamais compris qu'un corps trempé dans un liquide puisse ressortir mouillé...

Il y a des jours où je m'énerve moi même... 

Re bonjour Coyote,
je ne pensais pas que le De Havilland Mosquito est un bimoteur dissymétrique les deux hélices tournant à gauche.
Mon cousin à Calais (oui là où n'y a pas de Calais) en réalisant son petit gros Mosquito RC de 2,5m d'envergure environ avec 2 moteurs de tronçonneuse), (pas sorti par la porte mais par la fenêtre du 1er)  ne connaissait sans doute pas  cet option et c'est sans doute pour cela qu'il s'est écrasé au premier vol !

D'un autre coté, avec des moteurs de tondeuses à gazon, il ne pouvait que rejoindre l'herbe rapidement...

+1 avec Nico