P-38 G Miss Virginia - Tamiya 1/48

Merci Christian

Merci Christian pour ce partage !

Je me donne des coups de pieds la ou ont pense
Je viens de voir que la (&%$&%$@) échelle aurait pu être posé a l’étape 47
Vais devoir vivre avec cela


Tu avances bien mon copain 

J'espère que tu as apprécié le "saute-mouton"... 

c'est pas faute de te l'avoir suggérer 

Bonjour coyote,

Merci pour la tradition

 Pensée émue pour Charles qui va  se trainer une échelle toute fragile durant tout le montage, alors qu'il faut la poser ... à la fin... l'abus de Caribou nuit moi je dis...

Et le G progresse comme disait Homère... celui de l'antiquité pas le bouffeur de donuts 

Le travail de peinture oblige à préparer les pièces en sautant quelques étapes pour mieux y revenir. Parce qu'il faut le rappeler, le Coyote travaille à la bombe ...  ... pas au pistolet... 





Et en Interlude... quoi de mieux qu'un petit écorché façon cours de d'économie appliquée, on remplace le crapaud par un P-38 et hop!
alors que coté japonais l'Oscar attend... (va falloir la décortiquer  celle-ci, elle est alambiquée) 

Bonjour coyote  

Belle avancée
Même alambiqué

Merci Didier de me faire la transition... Puisque l'on parle d'alambiqué, on tourne au tonneau et du coup passons aux bidons externes. 

Je sais là le Coyote passe directement à l'étape 41, mais IL fait ce qu'IL veut 







Aller hop, on se met à la peinture...

Pour + d'info 
Source WIKI
Confrontés à la pénurie de métaux en temps de guerre et à la nécessité d'élargir la gamme des avions de combat, les Britanniques ont imaginé des réservoirs largables en papier kraft imprégné de colle, qui présentaient d'excellentes caractéristiques de tolérance à la chaleur et au froid extrêmes nécessaires à l'exploitation d'un avion ainsi que étant étanche.
 
Étant donné que la colle se dissolvait lentement à cause des effets de solvant du carburant (développant parfois des fuites quelques heures après avoir été chargée de carburant), il s'agissait strictement d'un article à usage unique, utilisé dans des conditions typiquement froides d'Europe du Nord, rempli immédiatement avant le décollage, largué en cas de mission avortée et n'étant requis que pour la partie aller d'un vol. Ces réservoirs en papier mâché ont été assemblés à partir de trois composants principaux, le cône de nez, le cône de queue et le corps, chacun façonné sur des formes en bois, la section centrale créée en enroulant des couches de papier imprégné autour d'un cylindre, les embouts laminés à la main avec pièces en forme de pétales parfois appelées fuseaux.
 
Avant l'assemblage final, des chicanes anti-glissement en bois ont été installées, des tuyaux et des raccords ont été fixés et les intérieurs recouverts d'une laque résistante au carburant et les trois pièces ont été collées ensemble sous presse. Une fois que le réservoir a durci, il a été testé sous pression à 41 kPa (6 psi) et les réservoirs passants ont reçu deux couches de dope cellulosique suivies de deux couches de peinture aluminium. (Les réservoirs britanniques en papier se distinguent des réservoirs métalliques extérieurement similaires par la couleur, les réservoirs en papier avaient une apparence argentée, tandis que les réservoirs en métal étaient gris.) Quelque 13 000 réservoirs en papier mâché ont été fabriqués et utilisés par la RAF, la grande majorité pendant la guerre, conservant une quantité considérable de métal. Très peu d'exemples survivent en raison de leur nature consommable, de leur faible valeur intrinsèque et du fait qu'ils ne sont pas intrinsèquement robustes. Bien que probablement gênants pour ceux qui se trouvaient sous la trajectoire de vol lorsque les réservoirs vides ont été libérés, ils étaient légers et relativement fragiles. Bien qu'ils ne risquaient de provoquer que de l'anxiété, les autorités allemandes allèrent jusqu'à distribuer des tracts expliquant que les réservoirs largables n'étaient pas des bombes.
Réservoirs de largage en papier de 110 gallons US (420 L) et en métal de 75 gallons US (280 L) exposés au Luchtoorlogsmuseum, un musée de l'aviation aux Pays-Bas (2012)
Les réservoirs en papier américains ont été développés par le colonel Bob Shafer et le colonel Cass Hough, qui ont passé de nombreuses heures à développer un réservoir en papier de 110 gallons (416 litres), puis à les mettre en production en série chez Bowater-Lloyd's de Londres, pour se faire dire par les experts de Wright Field "les réservoirs en papier sont absolument irréalisables et ne feront pas le travail pour lequel ils sont destinés". Puisqu'au moment où les experts ont fait cette déclaration, les chasseurs de la 8th Air Force avaient déjà utilisé plus de 15 000 réservoirs en papier sans échec, la critique n'a pas été prise au sérieux. Cela peut expliquer pourquoi les réservoirs de carburant les plus souvent utilisés pour les chasseurs américains monomoteurs opérant en Europe du Nord étaient le réservoir entièrement métallique d'une capacité de 75 gallons (284 litres) (fabriqué à partir de deux moitiés d'aluminium formé avec une couture horizontale proéminente le long la ligne médiane du réservoir). Un autre réservoir de largage en métal courant était le modèle de 150 à 165 gallons US (570 à 620 L) utilisé par les P-51, P-47 et P-38.

Mais la RAF utilisa aussi des réservoirs d'ailes en bois... en Juin 44 ceux-ci n'étaient pas largables ni auto destructeur mais... buvables.

Genial  on va tout savoir sur le p38 j et g
Et les réservoirs  300 galons et plus
Merci coyote merci Charles

C’est tellement vrai! Qu’il est agréable d’être compris… vive la Belgique !

PS je reste jaloux de ton Coyote

Et comment fait le coyote pour ouvrir son fût en chêne ?

Merci Charles et Coyote pour l'explication sur les réservoirs supplémentaires.

Et une belle avancée du montage.

Quand au coyote de Daniel, une maquette géniale !

Ben voilà Nico, l'Ancien a trouvé la solution Coyote pour ouvrir les réservoirs spéciaux sous les ailes du Spit.

Mais pitié arrêtez de me tenter avec vos figurines! 

Allons continuons avec les bidons...

Bonsoir Coyote,

A 150 € la figurine, ton sens auvergnat de l'économie va te pousser  éviter de céder à la tentation...

Plus sérieusement, j'apprécie que tu nous fasses découvrir l'origine du kart et j'apprécie ton jeu de mots sur l'optimist qui n'est pas une moto godille.

J'attends la suite avec le plus vif intérêt.

Après le coup du Kart, parlons de jardinage... 

Coyote,

Et nous sommes en plein printemps...

Une très belle peinture !