TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
+4
Andy
Coyote
Nico42
L'ancien
8 participants
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Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
Merci Michel pour cette nouvelle page d'histoire...
Nico42- Admin/membre du clan des Stéphanois (par adoption)
- Messages : 10298
Date d'inscription : 08/11/2019
L'ancien aime ce message
Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
yep 100% d'accorddaniel moeckx a écrit:MERCI MICHEL TINTIN QUE DES BONS SOUVENIRS
Charles QC- Messages : 1807
Date d'inscription : 18/08/2021
Age : 71
Localisation : Québec Canada
Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
Le bonjour vous va Tertous,
merci pour les commentaires
merci pour les commentaires
L'ancien- Administrateur / animateur bateaux bois
- Messages : 5752
Date d'inscription : 21/03/2020
Age : 82
Localisation : Garges & ch'ti
Coyote aime ce message
Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
Bonjour Michel,
plus 1 avec Charles et Nico
plus 1 avec Charles et Nico
_________________
Amicalement Didier
Salut Didier62
Je suis toujours en train de m'étonner moi-même. C'est la seule chose qui rende la vie digne d'être vécue.Oscar Wilde
didier62- Messages : 3090
Date d'inscription : 02/05/2020
Age : 70
Localisation : Saint-Omer pas de calais
Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
+1 avec les copains
Merci Michel
Merci Michel
_________________
Amitiés
Rico
Modéles terminer:
-Escorteur Surcouf au 1/100
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-Cuirassé Bismarck au 1/200
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-Cuirassé Richelieu au 1/100
-Corvette Snowberry class Flower
En cours
-Porte-avions Uss Hornet au 1/200
-Croiseur Georges-Leygues au 1/100
-Porte-avions FOCH au 1/150
papi45- modérateur/animateur "militaire"
- Messages : 2118
Date d'inscription : 03/10/2017
Age : 61
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Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
Le bonjour vous va Tertous,
j'ai retrouvé cela dans un vieux rangement à la cave, je les avais oubliés ! Il est complété par des renseignements obtenus sur la toile from TINTIN.
TINTIN ET LES AVIONS 1843/1918 25-26-27
N°25 1908 Biplan FERBER (France)
La carrière du fameux capitaine français FERBER fut parmi les plus fécondes, mais aussi hélas ! parmi les plus malchanceuses. D’une part, une immense somme d’énergie dépensée pour la conquête de l’air ; d’autre part, tous les « coups durs » possibles... Dès 1897, le capitaine d’artillerie FERBER avait suivi avec attention les vols de l’Allemand Lilienthal ; puis, il était entré en correspondance avec l’Américain Chanute, lequel lui avait fourni, avec son désintéressement proverbial, des renseignements précis sur les vols de ses propres planeurs et sur le premier exploit des frères Wright. Ayant fait la synthèse des éléments recueillis de la sorte, FERBER avait construit en 1902 un très beau planeur, pesant à peine 50 kilos et mesurant 9,50 m. d’envergure et 1,80 m. de long. Lancé par un pylone-balance à Beuil, dans les Alpes-Maritimes, il franchit une distance de 50 mètres. L’année suivante, en Bretagne, la distance parcourue fut portée à 80 mètres. Persuadé de disposer d’une excellente cellule, FERBER se mit alors en quête d’un moteur ne pesant pas plus de 100 kilos. Après de nombreuses difficultés, il rencontra Levavasseur et lui commanda un moteur qui fut prêt en 1905. L’officier se hâta de le monter sur son planeur : malheureusement lorsque tout fut au point, une tempête s’abattant sur le terrain d’Issy-les-Moulineaux détruisit l’appareil. FERBER demande un congé et entre à la Société « Antoinette » en qualité d’Administrateur délégué. Mais on était déjà en 1908 ; et tous ces chercheurs auxquels il avait prodigué conseils et documentation, les Wright, les Santos-Dumont et tant d’autres, avaient pris une avance impossible à combler. Cet emploi lui permet de reconstruire son "Ferber IX" avec lequel, le 14 juillet 1908, il réalise le vol qu’il aurait pu accomplir trois ans plus tôt. L’année suivante, à Boulogne-sur-mer, il tombait victime de cette aviation qu’il avait si généreusement servie.
N°26 1908 Biplan des Frères TIPS (Belgique)
En 1908, seuls des Français et des Américains (et aussi un Danois isolé) avaient réussi à construire et à faire voler des avions. Dans les pays entourant la France, c’était le néant. Sauf pourtant en Belgique, où la fin de l’année 1908 vit deux frères, Maurice et Ernest Tips, achever un biplan qui se distinguait par quelques innovations intéressantes : hélices tripales métalliques à pas "réversible" commandé, en vol, par pédales ; châssis d’atterrissage tricycle avec roue unique à l’avant et amortisseurs télescopiques à ressort ; freins sur les roues arrière actionnés au pied par le pilote ; construction de structure entièrement métallique avec recouvrement de toile ; commandes combinées avec le volant, etc... En outre, était prévue une hélice sustentatrice tournant dans le plan horizontal, les trois hélices étant propulsées par le même moteur. C’était, avec quarante ans d’avance, l’idée du "convertiplane". Les roues pouvaient être remplacées par des sphères en métal à utiliser sur tous terrains (même marécageux) et pouvant servir de flotteurs pour les amerrissages. L’avion fut fabriqué d’ans un hangar en bordure de la plaine de man’uvres d’Etterbeek (Bruxelles). Doté à l’origine d’un moteur "Pipe" de fabrication belge, c’est avec un Gnôme-Rhône rotatif à 7 cylindres développant 50 CV que le Tips prit part au meeting d’Anvers en 1909 et à celui de Casteau en 1910. Son hangar fut transféré plus tard à l’hippodrome de Stockel, près de Bruxelles, où plusieurs essais eurent encore lieu. Mais la structure métallique de l’appareil était trop lourde pour la puissance du moteur et la courbure des ailes insuffisamment développée : aussi les frères Tips n’insistèrent pas avec leur biplan. Ils n’abandonnèrent pas l’aviation pour autant, et furent même les seuls constructeurs belges à poursuivre une activité aéronautique valable et durable. Entre les deux guerres, ils allaient réaliser des avions de tourisme tout en montant sous licence des avions de la marque britannique "Fairey", activité qui dure toujours. Premiers à donner des ailes à la Belgique, les frères Tips restèrent parmi les derniers à lui en fournir.
N°27 Biplan de Wright (USA) 1909
Il fallut le vol historique de Santos-Dumont, puis ceux des appareils Voisin et Blériot pour arracher les frères WRIGHT à leur parfaite indifférence devant les efforts d’autres chercheurs. Jusqu’alors, ils avaient fait traîner les pourparlers en vue d’une tournée en France. En présence des succès de leurs concurrents en Europe, ils s’empressèrent de passer contrat avec un consortium français. Et, en mai 1908, Wilbur WRIGHT débarqua en France un appareil de construction récente. Au camp d’Auvours qui fut mis à sa disposition, l’Américain décolla pour la première fois le 8 août et, d’emblée, démontra la nette supériorité de son avion et sa grande valeur comme pilote. L’assistance fut frappée par l’aisance de sa démonstration, due surtout à l’emploi du gauchissement des bouts d’ailes pour assurer la stabilité de l’avion. Celui-ci semblait voler naturellement et était manié à la perfection. De plus, la personnalité de Wilbur WRIGHT, son noble visage, son extrême réserve qui en faisait un être presque mystérieux, ainsi que l’ascétisme de sa vie, firent une forte impression sur le public. On admira son dédain à l’égard des manifestations extérieures de la popularité et, notamment, son horreur des photographes. Les succès du héros du jour se succédèrent rapidement : le 3 septembre, vol de plus de 10 minutes ; le 16, vol de 39 minutes 18 secondes, puis un vol avec passager ; le 22, parcours de 66 km 600 en 1 h. 31 min. 25 sec., etc... Au camp d’Auvours, WRIGHT forma des élèves et réussit à convaincre des passagers aussi marquants que Paul Painlevé, Paul Doumer, etc... Enfin, le 18 décembre, il réalisa un vol de 99 km. (chiffre officiel, la réalité étant 120 km.), puis une montée à 115 m. de haut, et le dernier jour de l’année 1908, un vol de 123 km officiellement (150 en réalité). Si l’on songe qu’au même moment son frère Orville, demeuré aux États-Unis, effectuait des vols allant jusqu’à 1 h. 15, on demeure confondu par l’avance technique des WRIGHT à l’époque.
A suivre
L'ancien- Administrateur / animateur bateaux bois
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papi45, didier62, Coyote et Charles QC aiment ce message
Re: TINTIN LES AVIONS DE 1843/1918
encore une partie de l'histoire que tu a commencer
A mon avis tu va encore en retrouver dans ton rangement
Merci Michel
Passe le bonjour a ta fille de notre part
A mon avis tu va encore en retrouver dans ton rangement
Merci Michel
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Amitiés
Rico
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